La morale de la fable est de respecter des autres et de remercier les gens qui vous ont aidé. Si l’homme ne cassait pas sa promesse de garder ses enfants, son cadet ne tuerait pas le cadet du serpent et le serpent ne voudrait pas qu’il soit mort et si l’homme ne chassait pas le mulet et le chien, ils ne voudraient pas de le tuer. En plus, si l’homme ne voulait pas manger la famille du hérisson, il ne serait pas mort.
Le jeune touareg est né dans le désert du Sahara, dans un campement de nomades Touaregs, au nord du Mali. Au moment de l'entretien, il était étudiant à l’université de Montpellier en France. Quand il a vécu dans le désert, il réveille quand le soleil se lève. Sa famille emmenait les chèvres où il y avait de l’herbe et de l’eau et les chèvres les a donnés le lait et la viande. Quand il est arrivé en Europe, il a été surpris par les affiches de femmes nue parce qu'il pensait que c’était irrespectueux et par les robinets d’eau, car l’eau était rare dans le désert. Il ressent une douleur intense quand il voit le gaspillage d'eau parce que sa mère est morte dans une grande sécheresse. Dans son ancienne vie, les gens avaient beaucoup de temps. Toute chose est valorisée et un petit rien peut se donner beaucoup de bonheur. Il pensait que les Français ont tout mais ce n’est pas assez car ils se plaignent souvent. Il a dit que les gens sont trop obsédés par l'argent et ils vivent en racontant qu’ils sont occupés. Alors, il conseillait de carpe diem et être heureux.
J’habitais dans une grande ville quand j’étais jeune. Les magasins n’étaient pas loin et on pouvait marcher ou prendre la bus et métro partout. Alors, ici, il n’y a pas de métro et seulement quelques buses. On peut conduire partout. Et bien sûr, au début il y avait une barrière linguistique parce qu’anglais n’était pas la langue maternelle. C’était difficile de parler avec nos voisins.
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