Blog 12

1. La morale de la fable est les hommes et les animaux sont les ennemies. C'est parce que les hommes sont toujours gluttons. L'animate est le but du separation.


2. Il était un touareg et un musulman. Il est né dans un campement de Nomades Touaregs. Il a étudie la gestion a l'université de Montpellier. Aussi, il a été le gardien des dromadaires, chèvres, moutons et vaches. Il marchait 15km d'aller a l'école tous les jours. Sa mere lui a donne une maison de dormir tous les nuits. Il est allée a Montpellier d'étudier.

Nouvelle Vie:
- l'université de Montpellier
- instruit
- beau=coup des gens

Ancienne Vie:
- le desert avec le lait de chamelle, la chaleur du feu, les animaux
- la famille
- l'enfance et les Touaregs

3. Un experience similaire avec mes sentiments de ma culture et la mode de view en les Etats Unis. J'ai beaucoup des proches en Inde et ma famille fait les choses indiens, mais je suis un américain. Je ne parle pas ma langue maternelle bien. Alors, il est difficile de parler avec mes proches.

• a mod -Qu’est-il arrivé à votre famille ?

• J’ai convaincu mon père de me laisser aller à l’école. Tous les jours.

Je marchais 15km. Jusqu’au jour où un professeur m’a trouvé un endroit pour dormir et une femme qui me donnait à manger, quand je passais devant chez elle.

J’ai appris plus tard que c’était l’oeuvre de ma mère.

• - Pourquoi cette envie d’étudier ?

• Deux ans auparavant, le rallye Paris-Dakar est passé par notre campement. Une journaliste avait laissé tomber un livre.

Je l’ai ramassé et lui ai rendu. Elle me l’a offert.

C’était un exemplaire du “Petit Prince”. Je me suis promis de parvenir à le lire, un jour.

• -Qu’est-il arrivé à votre famille ?

• J’ai convaincu mon père de me laisser aller à l’école. Tous les jours.

Je marchais 15km. Jusqu’au jour où un professeur m’a trouvé un endroit pour dormir et une femme qui me donnait à manger, quand je passais devant chez elle.

J’ai appris plus tard que c’était l’oeuvre de ma mère.

• - Pourquoi cette envie d’étudier ?

• Deux ans auparavant, le rallye Paris-Dakar est passé par notre campement. Une journaliste avait laissé tomber un livre.

Je l’ai ramassé et lui ai rendu. Elle me l’a offert.

C’était un exemplaire du “Petit Prince”. Je me suis promis de parvenir à le lire, un jour.